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On Sunday, Victory won the match on the seventh day of the ION Hockey League, defeating Pingouin 3-2, placing the players coached by T1 Martin van de Rakt in eighth place in the rankings. A position they also held in the past two seasons. "Our main goal is to stay in the Ion Hockey League with this beautiful young team," said the experienced Martina Cavallero, hailing from Argentina.

De 33-jarige Martina Cavallero is met voorsprong de speelster met de meeste internationale ervaring bij Victory. Ze kwam 202 keer uit voor de Argentijnse nationale ploeg, won zilver op de Olympische Spelen 2012, brons op het WK 2014 en triomfeerde onder meer op de finale van de World League 2015 in Rosario en op de Champions Trophy 2016 in Londen. Cavallero begon in september aan haar derde seizoen in Edegem. Na nederlagen tegen Leuven, Wellington en Herakles deed ze dat met nul op negen. “Maar van paniek was er echt geen sprake”, aldus de immer bescheiden Argentijnse. “Je kan onze spelersgroep niet vergelijken met die van de voorbije twee jaar. Heel wat buitenlandse speelsters vertrokken en er werd plaats gemaakt voor de Edegemse jeugd. Dat is uiteraard zeer mooi, maar het heeft tijd nodig. We geloven in het proces. Match na match gaat het beter.

Dat laatste bewees Victory vervolgens met een zeer knappe zege op Racing (2-3), een belangrijke overwinning op Léopold (0-2) en een nipte nederlaag tegen Antwerp (1-2). “Ook vorig jaar deden we het tegen Racing goed, ik vond die overwinning geen verrassing”, zegt Cavallero. “In elke match hebben we goede momenten, we moeten nu proberen om die momenten aan te houden. Tegen Antwerp maakten we zeker aanspraak op een punt, maar zij deden het beter in de cirkel. Of een duel tegen Carla Rebecchi speciaal is ? Samen maakten we heel wat mooie Argentijnse momenten mee. Zij is een absolute topper. In de Belgische Eredivisie lopen er heel wat Argentijnse speelsters rond. We zien elkaar veel.

Zondag speelde Victory tegen Pingouin niet de beste match van het seizoen, maar in een wedstrijd die omwille van de regen meer dan een half uur werd onderbroken, werd wel met 3-2 gewonnen. Een overwinning die Victory naar de middenmoot van het klassement bracht. En vooral: er is al een kloofje met Léopold en Pingouin, de teams die de twee laatste plaatsen in het klassement bezetten. “Het was inderdaad geen topmatch, maar deze wedstrijd beschouwden beide teams dan ook als een finale”, zegt Cavallero. “Alleen de drie punten waren belangrijk, de manier waarop deze keer minder. Met de vele jonge speelsters in ons team mag je gerust spreken van een overgangsseizoen. Alleen het behoud in de Eredivisie telt. Nu kunnen we met vertrouwen de loodzware verplaatsingen naar Gantoise, Braxgata en Herakles tegemoet zien. Ik sluit het niet uit dat we het tegen die topteams goed doen. Een punt tegen hen pakken betekent voor ons een overwinning.

Cavallero begon op 7-jarige leeftijd te hockeyen en verdedigde tot 2018 de kleuren van haar thuisclub Hurling Club, gelegen in Hurlingham nabij Buenos Aires. Daarna speelde ze drie jaar voor Mannheim – waar ze in haar laatste seizoen na shoot-outs de finale van de Bundesliga tegen Dusseldorfer verloor -, alvorens in 2021 naar Victory te trekken. “Ik ben hier enorm gelukkig”, vertelt ze oprecht. “Er is heel veel sociaal leven op Victory, dat vind je niet overal. De beleving kan je helemaal vergelijken met mijn club Hurling. Na het eerste jaar was ik er helemaal van overtuigd dat ik hier op mijn plaats ben. Ik ben nu 33 jaar en voel me nog goed (lacht). Best mogelijk dat ik hier nog langer hockey.

Aan een geweldige internationale carrière bij Las Leonas kwam voor Cavallero einde 2018 na de Champions Trophy in het Chinese Changzhou een einde. “Ik sukkelde al een tijdje met de rug en om bij de Argentijnse internationale ploeg te hockeyen moet je 110 procent zijn. Dat lukte niet meer”, zegt ze. “Of ik nu nog hinder van de rug ondervind ? Momenteel gaat het enorm goed. Met Francis Weyts beschik ik bij Victory dan ook over de allerbeste fysio. Hij heeft magische handen.

Cavallero blikt meer dan tevreden op haar internationale loopbaan terug en ambieert later een carrière als coach. “Ik heb bij Argentinië meer gespeeld dan ik me ooit had durven voorstellen”, besluit ze. “Ik maakte twee Olympische Spelen en twee wereldkampioenschappen mee én stond aan de zijde van Luciana Aymar, de beste speelster aller tijden. Tijdens de finale van de Champions Trophy 2016 in Londen scoorde ik in finale tegen Nederland. We wonnen die wedstrijd uiteindelijk met 2-1. Dat was zeker mijn belangrijkste doelpunt ooit. Hockey zal voor altijd een belangrijke plek in mijn leven innemen. Bij Victory coach ik de meisjes U19/2. Ik hou van coachen en wil daar op lange termijn verder in groeien. Ik vind het belangrijk om mijn ervaring door te geven.

Werner Thys

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Ce qui compte vraiment pour le Victory et Martina Cavallero : "Essayer de faire durer nos bons moments.

Dimanche, le Victory s'est imposé 3-2 face au Pingouin lors de la septième journée de la ION Hockey League, plaçant les joueuses de T1 Martin van de Rakt à la huitième place du classement. Une position qu'elles ont également occupée lors des deux dernières saisons. "Rester en Division d'honneur avec cette belle et jeune équipe est notre principal objectif", déclare la très expérimentée Argentine Martina Cavallero.

Martina Cavallero, 33 ans, est de loin la joueuse qui a le plus d'expérience internationale au Victory. Elle a fait 202 apparitions dans l'équipe nationale d'Argentine, a remporté l'argent aux Jeux olympiques de 2012, le bronze à la Coupe du monde de 2014 et a triomphé lors de la finale de la Ligue mondiale de 2015 à Rosario et du Trophée des champions de 2016 à Londres, entre autres. Cavallero a entamé sa troisième saison à Edegem en septembre. Après des défaites contre Louvain, le Wellington et l'Herakles, elle a fait un zéro sur neuf. "Mais il n'y a pas eu de panique", dit l'Argentine, toujours modeste. "On ne peut pas comparer notre groupe de joueuses avec celui des deux dernières années. Beaucoup de joueuses étrangères sont parties et on a fait de la place pour les jeunes d'Edegem. Une très bonne chose évidemment, mais qui prend du temps aussi. Nous croyons au processus. Match après match, les choses s'améliorent.

Cela s'est confirmée avec une très belle victoire contre le Racing (2-3), une victoire importante contre le Léopold (0-2) et une défaite de justesse contre l'Antwerp (1-2). "L'année dernière aussi, nous avons bien joué contre le Racing. Pour moi, cette victoire n'était pas une surprise", explique Cavallero. "Dans chaque match, nous avons de bons moments, nous devons maintenant essayer de les faire durer. Contre l'Antwerp, nous pouvions prétendre à un point, mais nos adversaires étaient plus fortes dans le cercle. Est-ce particulier de jouer contre Carla Rebecchi ? Ensemble, nous avons vécu de grands moments argentins. C'est une excellente joueuse. En Division d'honneur belge, il y a beaucoup de joueuses argentines. Nous nous voyons souvent.

Dimanche dernier, le Victory n'a pas joué son meilleur match de la saison contre le Pingouin, mais l'équipe s'est malgré tout imposée 3-2 dans un match qui a été suspendu pendant plus d'une demi-heure à cause de la pluie. Une victoire qui a permis au Victory de se hisser au milieu du classement. De plus, il y a maintenant un écart avec le Léopold et le Pingouin, les équipes qui occupent les deux dernières places du classement. "Ce n'était effectivement pas un match de haut niveau, mais il faut dire que les deux équipes ont considéré ce match comme une finale", explique Cavallero. "Seuls les trois points étaient importants, la façon de les obtenir l'était moins. En raison des nombreuses jeunes joueuses de notre équipe, on peut franchement parler d'une saison de transition. Seul le maintien en Division d'honneur compte. Nous pouvons maintenant nous préparer en toute confiance aux matches difficiles que nous jouerons en déplacement à la Gantoise, au Braxgata et à l'Héraclès. Je n'exclus pas la possibilité de faire un bon résultat contre ces équipes de haut niveau. Prendre un point contre elles, c'est déjà une victoire pour nous.

Cavallero a commencé à jouer au hockey à l'âge de 7 ans et a défendu les couleurs de son club d'origine, Hurling Club, situé à Hurlingham près de Buenos Aires, jusqu'en 2018. Elle a ensuite joué trois ans pour Mannheim - où elle a perdu la finale de la Bundesliga contre Dusseldorfer lors de sa dernière saison après les tirs au but - avant de rejoindre Victory en 2021. "Je suis très heureuse ici", dit-elle sincèrement. "Il y a une chouette vie sociale au Victory, ce qui n'est pas le cas partout. L'ambiance est fort comparable à celle de mon club Hurling. Après la première année, j'étais vraiment convaincue que j'avais ma place ici. J'ai maintenant 33 ans et je me sens toujours bien (rires). Il est fort possible que je joue au hockey ici encore plus longtemps.

Une grande carrière internationale avec Las Leonas s'est achevée pour Cavallero à la fin de l'année 2018, après le Trophée des Champions à Changzhou, en Chine. "J'avais des problèmes de dos depuis un certain temps et pour jouer au hockey avec l'équipe internationale d'Argentine, il faut être à 110 %. Je n'y parvenais plus", explique-t-elle. "Si je suis encore gênée par mon dos ? Pour l'instant, tout se passe très bien. Francis Weyts est le meilleur kiné au Victory. Il a des mains magiques.

Cavallero est plus que satisfaite de sa carrière internationale et envisage, à terme, une carrière d'entraîneur. "Pour l'Argentine, j'ai joué plus souvent que je ne l'aurais imaginé", conclut-elle. "J'ai vécu deux Jeux olympiques et deux championnats du monde et j'ai joué aux côtés de Luciana Aymar, la meilleure joueuse de tous les temps. Lors de la finale du Trophée des champions 2016 à Londres, j'ai marqué contre les Pays-Bas. Nous avons finalement remporté ce match 2-1. C'est sans aucun doute le but le plus important de ma carrière. Le hockey occupera toujours une place importante dans ma vie. Au Victory, j'entraîne les filles U19/2. J'aime entraîner et je veux progresser dans ce domaine à long terme. Je pense qu'il est important de transmettre mon expérience.